Les Bachada Days de Movimiento !

Publié le 16 novembre 2024

Tomblaine, terre de Culture, avec toutes ses associations de danse et ses centaines de pratiquants est connue et repérée par tous les amoureux de la danse de la région et bien plus loin encore. Parmi ces associations, Movimiento propose toute l’année, à l’Espace Jean Jaurès, la pratique de la Salsa et/ou de la Bachata à plus de … 300  adhérents fidèles aux rendez-vous chaque semaine ! Le président de Movimiento, Sébastien Périsse, peut compter sur une équipe de bénévoles très investis, parmi lesquels Katia Racanati. Et l’association est ainsi bien structurée pour organiser des cours de niveaux différents, communiquer, recruter des professeurs qualifiés et … garantir une ambiance très sympa parmi les nombreux pratiquants. On travaille, on apprend, et en même temps c’est convivial, c’est du plaisir partagé.

Forte de cette réussite, l’association organise aussi deux grands festivals dans l’année, un de Salsa au printemps et celui de Bachata, qui a lieu ce week-end depuis vendredi, les 15, 16 et 17 novembre, intitulé « Bachada Days » ! Le festival bat son plein, environ 160 danseuses et danseurs prennent des cours de Bachada pendant trois jours, les ateliers sont dirigés par des professeurs de très bon niveau, qui viennent de Paris, Marseille, Strasbourg… Les participants à ce ce festival viennent eux même parfois de très loin, tant cette manifestation est réputée de qualité. Et puis chacun des trois soirs, on danse la Bachada et là ce sont environs 200 personnes par soir qui rejoignent l’Espace Jean Jaurès, pour le plaisir de danser … 

Si ça vous tente, quelque soit votre niveau, n’hésitez pas, c’est à l’Espace Jean Jaurès, vous avez jusqu’à dimanche soir pour essayer !

Pleine page

Le beau sapin, roi des forêts est arrivé.

Publié le 13 novembre 2024

À l’approche des fêtes de fin d’année, un superbe sapin a été installé devant l’école Elisabeth et Robert Badinter, face à la Place des Arts. Il sera décoré et illuminé prochainement par les services municipaux.

Pleine page

Le 11 novembre à Tomblaine.

Publié le 11 novembre 2024

Une belle commémoration, avec une participation de la population, les anciens combattants, les élus, les enfants de l’Ecole Jules Ferry qui ont superbement chanté la Marseillaise, ceux du Conseil Municipal d’enfants qui ont lu un poème de Didier Venturini. Il s’agit de rendre hommage à ceux qui ont donné leur jeunesse, leur vie pour la Liberté, il s’agit de se souvenir, de ne jamais rien oublier, de tirer des leçons de l’histoire et de les transmettre aux jeunes générations, pour que les enfants d’aujourd’hui deviennent des citoyens libres et éclairés et pour travailler sans cesse à "faire société ».

Mais il ne faut pas oublier ce que le monde d’aujourd’hui continue à vire dramatiquement, au quotidien, à Gaza, au Liban, en Ukraine, en Afghanistan, au Yemen … On tue et maltraite des enfants, des femmes, on humilie, on affame les populations, et le monde choisit lâchement d’ignorer tout ça. Le Général de Gaule avait raison de qualifier l’ONU de « Machin » !

L’avènement des nouveaux tyrans de la planète et leurs sordides associations ne sont pas là pour nous rassurer. On croit toujours que le pire est arrivé, alors qu’il est toujours à venir. Et puis il y a l’émergence jusque dans notre pays des idéologies extrêmes, des violences gratuites, des trafics en tous genres, des meurtres de mineurs, d’attentats terroristes … 

Tout comme les guerres, cette société de la violence se développe sur le lit de l’obscurantisme, de toutes les formes d’intégrisme et de la course au profit … et de la médiocrité de nos dirigeants. 
En France les pauvres le sont de plus en plus et sont de plus en plus nombreux à  perdre la dignité, en même temps que le minimum à vivre, pendant que les actionnaires du CAC 40 continuent à s’engraisser… Le service public est lentement, mais surement démantelé, l’école publique, l’hôpital public, les bailleurs sociaux sont privés des moyens qui leur permettaient d’assurer une valeur essentielle de la République : l’Egalité.  

N’est-ce pas là une autre forme de guerre, une autre forme de violence qui ne cesse de progresser ?

Pleine page

Pages